mardi, février 28, 2006

CR du 2602: Bleau de reve!

Messieurs,

Le CR sera bref, car comme d habitude a Bleau, je n ai aucune idee des endroits que nous traversons. Le mieux serait que l ami Ricil se colle aux CR de Bleau... On peut toujours rever, non?

Quelques faits: Arrivee au cimetierre vers 8H15. Ricil est deja la, bien au chaud dans sa voiture. Miros, Bruno et moi dechargeons nos machines et nous attendons le pere Christophe. Pas tres longtemps car le cuistre a rallie Bleau depuis Magny les Hameaux en 24 minutes chrono! Sans commentaires...

Depart dans la froidure hivernale. Mais pas pour longtemps (la froidure) car le rythme est soutenu des le depart. Pour le reste, je vais faire court. Ricil s est applique a nous faire eviter tout portage. Avec succes! Sauf une petite erreur d orientation de sa part qui s est soldee par quelques minutes d escalade dans les rochers, c est du sans faute.

Bravo et merci a Ricil, donc. Merci pour ce parcours qui a reussi a reconcilier Christophe avec Fontainebleau. Et la, c etait pas gagne. Et merci pour le rythme severe que tu as reussi a imprimer a l ensemble de la sortie. Pas de temps mort, rien que du rpm!
Au final, une petite 40aine de km de folie. Pas de taule (sauf Christophe dans le sable) et pas de souci mecanique (si on fait abstraction de 3 dents de mon plateau flambant neuf qui sont restees plantees dans un rocher).

A refaire, donc!

dimanche, février 19, 2006

Sortie du 19 février annulée...

Météo pourrie.
Terrain impratiquable.

mercredi, février 15, 2006

Week-end magique au pays du petit lapin blanc.

Pourquoi le pays du petit Lapin blanc alors que j’étais censé être dans le sud de la France, ou plutôt au nord de la France selon les critères Marseillais (au dessus de Marignane c’est déjà le nord de la France, et au dessus d’Avignon c’est carrément la Sibérie).
Bref revenons à notre lapin blanc, car comme dans le conte de Lewis Carroll ’’Alice au pays des merveilles’’, j’ai rencontré plein de gens bizarre dans des lieux étranges, dans un pays incroyable, en suivant un mec ’’traaaanquille’’ …

On arrive ’’traaaanquille’’ à une soirée, quand on voit mon lapin blanc (en fait il était jaune mon lapin, mais si je devais tout expliquer ça deviendrait rapidement le bordel) en train de courir avec un verre à la main (dans le conte il avait une montre et arrêtait pas de dire ’’je suis en retard, je suis retard’’) là, il avait un Mojito à la main et arrêtait pas de dire ’’ça farte, ça farte’’…En fait, y-avait plein de gens bizarres, tous jaunes, autours de nous en train d’hurler ’’cassé, cassé…’’ Ca fout la trouille !!!

En plus, il avait un chapeau franchement chelou avec un drôle de string en collier de bonbon. Apparemment, ça attire la femelle. Faut dire qu’il avait 40 ans, le lapin, et 40 ans ça se fête. Ca c’est fini à 3h du mat’.

40 ans ’’L’expérience’’ qu’il dit.







Le lendemain matin, j’ouvre les volets, et là, je tombe sur des moineaux d’au moins 15 kgs perchés sur l’arbre en face de la chambre. Vraiment trop bizarre le jardin du lapin!
Tu m’étonne que ça faisait un drôle de bruit le matin.
Dans le registre bizarre, il faisait chaud et le sol était tout sec. 15°C !!! Trop fort le Mojito d’hier soir. T’y crois pas !




Tu prends le vélo, t’es en short, en Tee-shirt et tu commence par 25 minutes de grimpette. Arrivé en haut de la première montée, une superbe vue sur le massif des Costes se présente sous nos crampons. Là c’est sûr, je rêve, car la semaine dernière, il faisait –3°C, et je râlais comme un putois dans la boue.





Peu après, on s’est enquillé du single toute la matinée à rythme soutenu. Un pur bonheur, sur un terrain sec et cassant avec peu de portions plates. Que de looooongues montées et de très trop courtes descentes. Seul un pépin de manette de dérailleur est venu cassé le rythme. Pépin résolu au bout d’une bonne demi-heure, car le ressort était parti, sur l’écrou qui tient le bidule, qui vient en butée contre le machin, le tout retenu par une petite patte qui vient se loger dans le bitoniau. Démonté et remonté sans schéma technique.



Après 3 heures de bonheur, nous sommes partis retrouver les juniors, qui cherchaient de leur côté des gapounets et grosses doubles à titiller. Là aussi, ca passe ’’Traaaanquille’’






Après … après, je me suis réveillé, j’étais à Beynes, il fait 3°, il pleut et je crois que je vais aller tourner sur Fontainebleau dimanche prochain... En attendant, je vais me coucher.

Grand merci à Thierry (mon beauf) et sa petite famille pour ce petit moment de détente et bonheur.

jeudi, février 09, 2006

Dimanche 12 fevrier: les Vaux?


Messieurs,
Que diriez vous d une petite ballade supplementaire en direction des Vaux, dimanche prochain? En supposant que la meteo sera clemente bien sur. Ce qui n est pas du tout gagne.
J attends vos avis motives et eclaires.

dimanche, février 05, 2006

CR du 05 février : Lorsque le maillon faible rencontre le chainon manquant ...

Bon d'accord, je lève rapidement le suspense autour du maillon faible du jour ... C'était moi !!!
Pas de jambes, manque de sommeil, tout ce que vous voulez, mais une seule constation sans appel. J'étais à la rue !!!

Je ne chercherai pas d'excuses foireuses du style :
- Alain était pressé, et a voulu torcher son parcours de 4 heures en 2.
- Pierre était méchant et n'a fait qu'arsouiller son monde sur le SJR.
- Christophe était chaud comme une baraque à frites sur la plage de la grande motte, car il s'était déjà mangé 8 bornes avant de nous retrouver sur le parking...
Bref que des trucs complétement invraisemblables, totalement inventés et absolument pas crédibles pouvant justifier un départ sur les chapeaux de roues....

Dans le froid et l'agonie, nous quittons le Manet après avoir traversé une mer de boue, car à ce niveau ce n'était plus un single (3 mètres de large sur au moins 800 mètres). Nous avons eu une pensée pour Olivier qui de son chapeau nous aurait sûrement sorti un petit chemin de derrière les fageaux pour shunter cette merdasse infame. Nous traversons la plaine au scotch, par la petite route jusqu'à la ferme, d'où nous récupérons rapidement les hauteurs de Maincourt.
En remontant sur les Vaux, premier coup de théatre, petite cotounette, et notre Cannond'Al national se retrouve les 4 fers en l'air. Moment de faiblesse me dis-je. Vu que je flirtai allègrement avec la 4ème dimension, c'est pas moi qu'allais me moquer de lui.

Pas du tout; le gaillard remis le couvert sur les hauteurs des Vaux .... Saloprie de dérailleur, de chaine, de plateau ou un truc dans le genre. Si maintenant, il commence à piquer les excuses de ces potes !
Nous continuons à tourner sur les hauteurs des Vaux, jusqu'à revenir sur une petite descente technique, et là encore nouveau coup de théatre.


Ce coup-ci promis, juré, je ne balancerai pas de nom. Je vous laisse découvrir le chainon manquant.

Piqué dans son amour propre, le chainon manquant nous a tous mis minables dans un petit raidillon. Un jour, on le fera uriner dans un tube pour savoir ce qu'il met dans son camel-bag. Encore faut-il trouver un récipient pouvant résister aux substances plus ou moins douteuses. Bruno était tellement démoralisé qu'il a cherché un petit moment comment perdre 15 grs sur les masses suspendues. L'histoire ne nous dit pas comment.

Cannond'Al nous quitte sur les hauteurs des Vaux, nous laissant juste avant la petite descente technique nous ramenant sur Choisel et ses hauteurs. Christophe nous sorti une petite côte assez impressionnante.

Christophe nous quitte peu après. Du coup, il a loupé la crevaison de Bruno sur le retour.

En conclusion, très grosse sortie, du moins je le crois car je n'ai plus de compteur.